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Et si la force d’un système dépendait moins de ses éléments que des relations entre eux?

  • Photo du rédacteur: Katalin
    Katalin
  • il y a 2 heures
  • 1 min de lecture
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Promotion de l’humanité Série 5/6

Et si la force d’un système dépendait moins de ses éléments que des relations entre eux?


Une perspective systémique

Nous pensons souvent que la qualité d’un système dépend avant tout de ses éléments individuels. Alors nous analysons chaque partie séparément, en essayant de les optimiser une par une. Pourtant, lorsque nous changeons de perspective, quelque chose devient évident. Ce qui compte vraiment n’est presque jamais l’élément isolé, mais la manière dont il se relie aux autres.


Du cerveau aux dynamiques humaines

Un neurone seul ne produit rien. Connectez le à des milliers d’autres, et une pensée, une émotion, une décision peut émerger. Une personne peut être talentueuse, compétente, bien intentionnée. Mais c’est la relation aux autres qui révèle ou limite ce potentiel. Nous retrouvons cette dynamique partout. Dans un couple, dans une famille, dans une équipe, dans une organisation, dans toute une société. À petite et grande échelle, ce qui façonne réellement l’ensemble est la qualité des relations, pas la somme des parties.


L’impact des interactions

Chaque fois qu’un élément change, tout le tissu relationnel se réorganise. Comprendre un système signifie comprendre ses interactions et ce qu’elles génèrent. Et si l’on pousse cette logique jusqu’au bout, une conclusion simple s’impose. La personne qui a le plus d’impact n’est pas celle qui contrôle les pièces du puzzle, mais celle qui prend soin des relations entre elles.


Vers un leadership de la connexion

Autrement dit, un leader est avant tout un cultivateur de relations.

 
 
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